Sans cette peur de perdre
Ce qui est impalpable
Mais capable de toucher
Les organes invisibles
Comme l’âme et le cœur
Sans cette peur
Qui taille dans le néant
Leurs contours justes
Je ne serais rien
Je ne verrais rien
Ni de l’autre
Ni de moi
Je serais plus tranquille
Sûrement
Mais proche de la mort
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