Imre Kertész. Le chercheur de traces

« Je vois une inscription au milieu », annonça-t-elle.
Ils étaient encore trop loin pour pouvoir déchiffrer l’inscription , formée de trois ensembles, vraisemblablement trois mots, placée au milieu de la décoration du portail dont elle semblait , à cette distance, n’être qu’une espèce de ramification.
« Je…Je… fit-elle, s’efforçant de la déchiffrer.
Jedem das Seine, Chacun son dû », dit l’envoyé lui venant en aide.

Laisser un commentaire

Créez un site ou un blog sur WordPress.com

Retour en haut ↑