
Des mains ont ce pouvoir
De te faire venir
Je viens dis-tu
Sans l'avoir voulu
Et ces mains
Qui te savaient partie
Où vont-elles te chercher ?
Je viens tu le répètes
Sans l'avoir voulu
Tes lèvres comme pistil
Orné d'or poudreux
Ces mains comme abeilles
Qui le ravissent au lois
Pour prix de ta venue
Je viens tu le répètes encore
D'où viens-tu ?
La belle traduction en italien de ce poème est en lecture sur le site de Marcello Comitini
https://marcellocomitini.wordpress.com/2019/11/11/gabrielle-segal-bee-ita-fr/
De l’automne
où genêt « dors »
Puis sors du chou…
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