À la manière de Maurits Cornelis Escher

Montecelio, M.C. Escher, mars 1924, encre de Chine sur papier – ©
Il y avait dans cette heure
Solitaire
– Pièce où le temps passait
Au rythme de mes battements
Vite tellement vite
Et soudain lentement –
Une croisée donnant sur l’espace
Qu’il m’était impossible
Ne serait-ce qu’entrebâiller
Sans ouvrir ma poitrine
Et laisser fuir le temps

7 commentaires sur “À la manière de Maurits Cornelis Escher

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