Morte je serai vue
Avec les yeux du temps
Qui inlassablement place
Le passé devant
Aussi ce jour arrivera
Qui me verra m’enfuir
Les bras chargés
De trésors enfantins
- Commentaire
- Rebloguer
-
S'abonner
Abonné
Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
Carnets. Gabrielle Segal 
Superbe!
J’aimeAimé par 1 personne
Un grand merci à vous, Francine.
Pour ma part, je me promène toujours sur votre site comme dans une grande plaine poétique et fabuleuse, qui nourrit mon regard et ma pensée.
Mes amitiés
Gabrielle
J’aimeJ’aime
que dire devant tant de silence et de beauté simple…ces pensées ne me sont pas étrangères…vous les dites si bien
J’aimeAimé par 1 personne
J’ai remarqué souvent que le poème venait lorsque je cessais de penser. Dans le sens où je cesse de forcer ma pensée. C’est à ce moment-là que l’être parle. Et ce qu’il dit parle à d’autres que lui.
Merci pour vos mots. Ces échanges sont bienvenus alors que la question « Pourquoi continuer d’écrire ? » flotte constamment au-dessus de ma tête.
Très belle soirée à vous.
Gabrielle
J’aimeAimé par 2 personnes
merci. J’ai l’impression étrange de m’être écrit moi-même votre message.
J’aimeAimé par 1 personne
Comme je comprends ça !!
J’aimeAimé par 1 personne
Bonsoir, c’est un très beau poème. Bisous et bonne soirée MTH
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup Marie.
Mes amitiés
Garielle
J’aimeAimé par 1 personne
Que ces mots sont touchants, émotion… MERCI
J’aimeAimé par 1 personne
Merci à vous de vous promener par ici.
Gabrielle
J’aimeAimé par 1 personne
L’éternité que j’ai d’autres
à part
fait dedans ce liant pour la mienne
qu’on perce sonne…
N-L
J’aimeAimé par 1 personne