
Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d’honneur à souffrir tout son soûl. Et puis on s’habitue à endurer n’importe quoi et à survivre à tout prix.
"Je ne fais pas partie du mouvement de la rue, puisque je le contemple." Virginia Woolf

Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d’honneur à souffrir tout son soûl. Et puis on s’habitue à endurer n’importe quoi et à survivre à tout prix.
Vos mots sont tellement justes. Merci.
Si je puis me permettre, cela me ramène à il y a de cela plusieurs années. J’avais écrit un texte sur une musique que je trouvais gore. Le musicien, par la suite, m’avait confié qu’il s’était inspiré du film, Baise moi, pour la composer. Ce fut une belle expérience et le résultat a été surprenant grâce à un ami, qui, par la suite, en a fait une animation flash. Si vous avez un moment pour la regarder, voici le lien https://denisegirardsoupir.com/2009/10/08/87/ c’est la deuxième intitulé : tueur tu meurs
Belle semaine à vous !
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Votre texte est très beau. On se laisse guider dans cette errance urbaine par cette voix envoutante, presque dangereuse.
C’est étrange comme les liens artistiques se tissent. Merci pour celui-là.
Très belle journée à vous
Gabrielle
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