Il n’est pas d’absents
Tant que je suis ici
Et pourtant
Mes yeux
Pour eux
Ont perdu
Toute vie
Ce sont eux les absents
D’histoires qui se racontent
Dans le lieu de mon âme
Cette âme qui se peuple
Cependant qu’ici-bas
Le désert s’installe
"Je ne fais pas partie du mouvement de la rue, puisque je le contemple." Virginia Woolf
Il n’est pas d’absents
Tant que je suis ici
Et pourtant
Mes yeux
Pour eux
Ont perdu
Toute vie
Ce sont eux les absents
D’histoires qui se racontent
Dans le lieu de mon âme
Cette âme qui se peuple
Cependant qu’ici-bas
Le désert s’installe
Les absents n’auront plus tort si on les oublie !
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Leur premier tort est d’être partis !
Merci d’être passé par ici et très belle journée à vous
Gabrielle
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C’est très beau, Gabrielle
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Je vous remercie beaucoup.
Très belle journée à vous
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Les absents nous dirigent-ils vers une impasse?
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Non, je ne le crois pas. Je crois seulement que la place qu’ils occupent dans nos esprits ne comblent pas le vide qu’ils laissent en partant. Et que d’une certaine façon, les absents manquent à nos yeux.
Cependant, je trouve votre question très poétique.
Gabrielle
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Merci, Gabrielle, pour ce texte magnifique qui me touche beaucoup.
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Il y a dans la poésie une part de tous.
Très belle journée à vous, Francine.
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Oui, Les absents très présents dans notre passé seront dans notre avenir de bons souvenirs quand l’impasse sera devenue notre chemin ouvert.
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C’est si justement dit. Merci.
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Qui regarde quand tu regardes? Est-ce bien toujours toi (seule)? Ne sens-tu pas parfois prendre vie dans certaines perceptions ces présences à nous-même que l’on nomme les absents. Parfois comme la pluie fait retentir de nouveau un paysage éteint.
On dirait que je fais la leçon…il n’en est rien, la vie comme la mort, la présence comme l’absence….restent questionnement. le votre interpelle…
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Je ne vois pas là une leçon, mais un prolongement au poème. Car au fond, qui sommes-nous, si ce n’est un mélange d’êtres et de perceptions. Qui sait si nous ne sommes pas plus que ce que montre le miroir.
Très belle soirée à vous, Jean.
Gabrielle
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Les absents s’invitent quand on ne les attend pas. Quand ils partent on n’a plus la possibilité de nous rattraper. c’est trop tard. Très belle poésie.
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Merci beaucoup à vous.
Très bonne soirée
Gabrielle
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On est seule comme dans un désert lorsque les absents ne sont plus. Il ne reste que les souvenirs et le manque. Un superbe poème.
Amitiés
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Wow! Sincèrement magnifique ! Et pas que poétique ! Merci
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Merci à vous d’être passé par ici.
Mes amitiés
Gabrielle
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