Tuer le temps. Mais avant, se demander
S’il se laissera faire. Son cadavre,
L’Éternité, l’embaumer, le faire durer,
Tenir sa petite main emmaillotée,
Jusqu’à ce qu’il ne se réveille pas,
Tout, et vide
Tu n’as rien lu
Le poème n’existe pas, plus
Marronbleu, recueil numérique « Ce que vos yeux vairons »
https://cequetesyeuxvairons.wordpress.com
Les poèmes de Marronbleu, souvent courts, racontent, content, nous donne à voir la source de ses observations intérieures ou extérieures. Sa poésie projette le lecteur en plein cœur de la vérité du texte. On lit, certes, mais aussi on entend, on sent, on ressent, on apprend, et, sortant du texte, on observe à notre tour. Pour ma part, je garde longuement à l’esprit l’atmosphère de ces poèmes, devenant comme des souvenirs qui me seraient propres. Incontestablement, les yeux vairons portent un regard poétique sur le monde et en distinguent de nombreuses dimensions.
G.S.
Très exactement.
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Ce que vous dites me touche profondément.
La délicatesse, l’élégance de votre propos sont ceux se l’on retrouve, dans vos poèmes, vos photographies.
Merci, vraiment, d’avoir ouvert les portes de votre site à mon écrit.
Merci, pour ce partage.
Anne K.
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oui ! c’est un blog magique , alchimique 🙂
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