
De ces froidures qui nourrissent la suite mais de savoir ce qu’il y a sous la neige quand moi chaque hiver j’en oublie le printemps* … si tes yeux se déjettent si tes mains à la hâte se placent devant eux malgré tout tu vois qui ne se montre plus tout le reste oublié cette odeur de café qui semblait pourtant se moquer de tout la haute maison que ta mémoire a démeublée ses ajours ne donnent plus sur rien et Lui jamais même entrevu Il manque de force pour faire le temps de tes journées mais toujours tu vois qui ne se montre plus toujours tu fixes l'heure heureuse avec un clou tordu sur un mur qui se trouvait là et ne s’y trouve plus *Caroline Dufour
La forme aux contours d’un poste d’aiguillage qui bégaie peut avoir mal à dire
Entre alors la pellicule d’un gerce à s’en mordre les lèvres
Alain
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Je ne dirai pas mieux que vous, cher Alain.
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Magnifique texte !
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Merci d’avoir pris le temps de dire.
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