ce que nous devenons après avoir guéri du mal de l’autre et l’autre s’il vous plaît de notre mal ce que nous devenons est comme de naître enfin de voir enfin d’être enfin
écrire ne se peut presque plus
ce qui s’écrit est pris dorénavant au temps de ce qui est de ce qui se regarde
ce si beau visage
ce que nous devenons est comme nous appartenant
quelque chose nous dit que nous nous savons et que nos pas nous portent vers la consolation
Carnets. Gabrielle Segal 
💗💗💗
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Heureux de vous retrouver dans l’écriture Gabrielle. J’aime bien le « s’il vous plaît de votre mal ».
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Cette phrase précisément, j’aurais pu n’écrire qu’elle. Elle tient le texte. Et une autre également.
Je vous envoie mon amitié, Alan.
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Egalement Gabrielle
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Si votre écriture se raréfie, elle se boit lentement, goutte par goutte.
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Quand l’écriture est ce que jen ai fait, le risque est bien qu’elle se raréfie.
Merci, Cléo pour vos mots.
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