Dure la peau ©Gabrielle Segal tu ne sauras rien en dire de juste la justesse soutient les minutes de cette vie-là où tu n’es pas tombée amoureuse qui désire la chute dès le commencement qui s’enivre de la poursuite lorsque déjà des blessures sont à panser dont on ne sait encore rien du lieu tu te redresses lentement elle se dresse devant tes yeux dans tes mains laisse couler sa peau comme une eau de rivière dans le lit de laquelle tu marches sans prudence tombes sans chuter car le lieu est nommé Illustration du texte : Gabrielle Segal, "16 juillet 2023, 16h13", photographie, ©Gabrielle Segal. Partager : Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X J’aime chargement… Similaire 7 commentaires sur “Dure la peau” Ajouter un commentaire Joli poème J’aimeAimé par 1 personne Réponse Merci, Christine. J’aimeJ’aime Réponse Dans le mitan du lit La rivière est profonde Tous les chevaux du roi Viendraient y boire ensemble Et nous nous aimerions Jusqu’à la fin du monde J’aimeAimé par 1 personne Réponse Ce vœu d’aimer jusqu’à la fin du monde, je vous le vole, Jean-Jacques. Merci pour vos mots posés ici. J’aimeJ’aime Réponse Oui chère Gabrielle La vraie expression était Nous y ferions l’amour Mais les temps modernes L’ont galvaudé Ps Avec le temps on n’aime plus Ferré a raté sa chute J’aimeAimé par 1 personne Ivresse de la chute ? J’aimeAimé par 1 personne Réponse Oui, oui c’est ça. J’aimeJ’aime Réponse Répondre à Joël Hamm Annuler la réponse. Δ
Dans le mitan du lit La rivière est profonde Tous les chevaux du roi Viendraient y boire ensemble Et nous nous aimerions Jusqu’à la fin du monde J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Ce vœu d’aimer jusqu’à la fin du monde, je vous le vole, Jean-Jacques. Merci pour vos mots posés ici. J’aimeJ’aime Réponse
Oui chère Gabrielle La vraie expression était Nous y ferions l’amour Mais les temps modernes L’ont galvaudé Ps Avec le temps on n’aime plus Ferré a raté sa chute J’aimeAimé par 1 personne
Joli poème
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Merci, Christine.
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Dans le mitan du lit
La rivière est profonde
Tous les chevaux du roi
Viendraient y boire ensemble
Et nous nous aimerions
Jusqu’à la fin du monde
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Ce vœu d’aimer jusqu’à la fin du monde, je vous le vole, Jean-Jacques.
Merci pour vos mots posés ici.
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Oui chère Gabrielle
La vraie expression était
Nous y ferions l’amour
Mais les temps modernes
L’ont galvaudé
Ps Avec le temps on n’aime plus
Ferré a raté sa chute
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Ivresse de la chute ?
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Oui, oui c’est ça.
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